Les étapes de la vie de l’être humain incluent des prises en charge spécifiques. De l’assurance santé jusqu’au mutuel décès, la personne se doit de se sécuriser contre les aléas. Ceci va lui permettre, outre l’abri en cas de problèmes, d’épargner à son entourage l’obligation de toujours lui venir en aide. Cette autonomie et cette sécurité demeurent des besoins essentiels à tout individu. Néanmoins, lorsqu'il décède, comment ses proches peuvent-ils l'aider, notamment lors des funérailles ?
Les premières démarches, lorsqu’un proche décède
Des formalités doivent être respectées quand un proche vient à mourir. Si les obsèques doivent être préparées par la famille, les termes de la succession et des assurances, comme l'assurance décès d'un défunt, nécessitent le service d’experts. Dépendamment de la situation de la personne décédée, les démarches restent subjectives. Pour commencer, il est important qu’un médecin « constate » la mort de l’individu. Pour ce faire, il va établir un acte par lequel il va confirmer l’état de la personne.
Dans les prochaines 24 heures, l’entourage va entamer les procédures pour acquérir un acte de décès. Ceci fait, les organismes correspondants, dont le notaire, vont étudier le dossier du défunt, pour les prochaines étapes.
Les étapes spécifiques à entamer, pour les obsèques
En attendant, le corps va demeurer, selon le choix de la famille, dans un établissement adéquat, comme une chambre funéraire, par exemple. Le service des pompes funèbres s’occupera de respecter les dernières volontés du défunt, à propos des obsèques. Parmi cela, le prélèvement pour des dons de ses organes ou l’option concernant ses funérailles : une inhumation ou une crémation.
Tout cela doit se faire durant la semaine qui suit le décès de la personne. Si ce dernier n’a fait nulle mention des dispositions à tenir en compte, lors de ce moment tragique, telle soulignée dans une assurance décès d'un défunt, la famille reste libre dans les choix possibles.
Les dispositions pour bénéficier d’un mutuel décès
Le notaire prend en main le testament du défunt, de sorte que les dernières volontés peuvent être mises en avant, durant les obsèques. Cependant, il arrive que le testament ne soit à la disposition des proches, que vers les derniers jours. Dans ce cas, le plus rapide reste la vérification de l’assurance décès d'un défunt. Normalement, le notaire doit en être informé. Autrement, il serait utile de vérifier dans les papiers personnels du défunt : livret de famille, par exemple.
Pour le financement de tout cela, l’entourage s’en occupe, dans le cas où le décédé n’a souscrit nulle assurance. Cependant, des parts de son compte bancaire peuvent être débloquées par les entités responsables.